Jeanne Bessis, une nouvelle maison de joaillerie au nom célèbre

JOAILLERIE

15 Nov 2022

La création d’une joaillerie est rare mais lorsque cette dernière est connue et reconnue dans ce secteur du luxe, c’est une bel évènement qu’il ne faut pas manquer. Partons à la découverte de Jeanne Bessis Joaillerie.

En fait, sa fondatrice, Julie Smadja-Bessis, est issue d’une longue famille de joailliers. Son grand-père Philippe Bessis a été le co-fondateur des collections “Must de Cartier”, qui a permis à cette grande maison de se redresser à la fin des années 70. Sa mère, Brigitte Smadja Bessis, a été l’âme des Maisons Cartier et Van Cleef & Arpels de la Place Vendôme pendant quelque 40 ans. Naturellement, Julie y a travaillé pendant près de 20 ans.

Créatrice dans l’âme, elle relève aujourd’hui le défi de lancer sa propre marque de joaillerie « Jeanne Bessis ». Elle a donc choisi d’ajouter le prénom de sa fille à son nom, se plaçant ainsi dans une lignée familiale qui ne se dément pas.

Le poisson « Lamarsa » est un Must Have

Toutes les grandes marques de joaillerie ont leurs bijoux iconiques qui sont à l’origine de leur succès, un must have que toute femme élégante se doit de posséder : la bague Trinity, le bracelet Love de Cartier ou la collection Alhambra de Van Cleef & Arpels, pour n’en citer que quelques-uns.

Dans sa première collection, Jeanne Bessis présente le pendentif « Lamarsa » : un poisson en or avec la tête sertie de diamants et un corps composé de minéraux précieux de différentes couleurs. Pour le réaliser, Julie s’est inspirée de ses origines de son héritage tunisiens, où des bijoux en forme de poisson sont offerts pour porter chance et éloigner le mauvais œil. Elle-même a reçu à la naissance un beau poisson en or offert par sa grand-mère, c’est pourquoi elle a également conçu une version pour les enfants.

Ce porte-bonheur pour la protection est plus qu’un bijou

Le poisson est reconnu comme un symbole universel par excellence. Il a été utilisé par de nombreuses et différentes civilisations et religions depuis la nuit des temps.

Dans l’histoire de la Genèse, le tout premier animal créé fut le poisson. Il est le seul à être béni de Dieu. Avant le crucifix, ce fut le symbole des premiers chrétiens. Du grec « Ichtus », ces derniers ont vu un acronyme dans ce mot dont les initiales formaient « Jésus Christ Fils de Dieu Sauveur ».

Dans la religion juive, il protège contre le mauvais œil, comme en témoigne cette citation du Talmud : « Les poissons de la mer couverts par les eaux sur lesquelles le mauvais n’a aucun pouvoir ».

Plus tard, les musulmans l’ont pris comme un signe de vigilance, car le poisson ne ferme jamais les yeux. Par extension, le poisson peut conjurer le mauvais œil et porter bonheur.

Dans la tradition tunisienne, il est de coutume d’offrir des bijoux en forme de poisson en cadeau de naissance ou de mariage.

Le poisson « Lamarsa » et la lithothérapie

La lithothérapie, qui recherche les bienfaits des pierres sur notre corps, montre qu’il existe une grande affinité entre les cristaux composés de silicium et notre corps. Au cœur de notre noyau cellulaire, le système vibratoire est également composé de silicium. Les cristaux et notre corps entrent alors en résonance. Selon les pierres, cette relation devrait permettre d’harmoniser l’organisme, de le purifier énergétiquement, voire de le stimuler plus.

Le pendentif « Larmasa » est disponible dans une grande variété de minéraux précieux et peuvent être choisis en fonction de leur couleur, de leur beauté et des bienfaits qu’ils apportent.

On peut citer par exemple la malachite qui aide à réguler les cycles ; la nacre qui apaise l’esprit et favorise la circulation de l’énergie dans le corps ; la cornaline qui renforce la confiance et la puissance d’expression ; la turquoise qui est connue pour ses bonnes propriétés curatives ; et le lapis-lazuli qui apporte plénitude et paix intérieure.

Les Français aiment les bijoux et savent les offrir

Selon un sondage Opinion Way, 41 % des Français achètent des bijoux pour se remonter le moral ou simplement se faire plaisir. De nombreux Français achètent des bijoux pour célébrer des événements particuliers : 35 % pour des occasions spéciales (mariages, naissances, baptêmes, etc.) et 49 % pour des fêtes (Saint Valentin, fête des mères, fêtes de fin d’année, etc.).

Prix publics : le pendentif « Lamarsa » est à partir de 950 euros et le « Petit Lamarsa » démarre à 750 euros.

Contacts

Tél. : +33 6 26 47 80 83 / Site internet : www.jeannebessis.com (à partir du 17 novembre 2022) / email : julie@jeannebessis.com / Instagram : @jeannebessisjoaillerie

Présentation privée : Jeanne Bessis organise une présentation privée de sa première collection les 17, 18 et 19 novembre au 240 rue de Rivoli 75001 Paris. De 10h à 19h. Faites parvenir un courriel à julie@jeannebessis.com pour prendre rendez-vous.

André Tirlet

 

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